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    Scénarisation




    Sarah Lévesque réfléchit aux concepts de punition et de transformation dans « La fonte des glaces »

    Sarah Lévesque réfléchit aux concepts de punition et de transformation dans « La fonte des glaces »

    L’inspiration derrière un projet de scénario demeure assez mystérieuse, croit Sarah Lévesque. Dans le cas de « La fonte des glaces », second long métrage qu’elle signe avec le réalisateur François Péloquin, il n’y a pas de réponse claire, mais des impressions qui habitent et qui deviennent intéressantes à investiguer pour mieux comprendre. En tant que parents, les deux complices, qui forment également un couple, ont eu envie, en campant leur récit dans le monde carcéral, plus particulièrement dans une aile expérimentale de réhabilitation pour détenus ayant commis des homicides, de réfléchir aux concepts de punition et de transformation.

    22 mars 2024, 03h00

    La SODEC apporte des modifications au programme d’aide en développement

    La SODEC apporte des modifications au programme d’aide en développement

    Dans le cadre du processus de révision de ses programmes, la direction générale du développement et de la production audiovisuelle de la SODEC informe sa clientèle que des changements ont été apportés au programme d’aide au développement pour l’année financière 2024-2025.

    22 mars 2024, 01h00

    Avec « La fonte des glaces », François Péloquin offre un film généreux

    Avec « La fonte des glaces », François Péloquin offre un film généreux

    Réalisant également du documentaire, François Péloquin opte pour le parti pris de faire le cinéma autrement lorsqu’il se retrouve dans un contexte de fiction. Son cinéma, réaliste, vise à offrir une certaine transparence dans l’approche visuelle afin que le public ne sente pas le travail de réalisation derrière sa démarche. Et c’est précisément ce qu’il poursuit sur « La fonte des glaces », son deuxième long métrage qu’il coscénarise avec Sarah Lévesque et qui est produit par Couzin Films. Après « Le bruit des arbres », il propose le récit de Louise Denoncourt, une agente de libération conditionnelle opérant une aile de réhabilitation pour les criminels ayant commis des homicides qui se retrouve devant Marc, un détenu qui la bouleverse.

    20 mars 2024, 02h30

    « Au boute du rien pantoute », une porte sur l’imaginaire de Marcel Sabourin

    « Au boute du rien pantoute », une porte sur l’imaginaire de Marcel Sabourin

    Idée originale d’Angélique Richer, qui coscénarise et coproduit le long métrage documentaire, « Au boute du rien pantoute » est né d’un désir de réaliser un film sur Marcel Sabourin. Jérôme Sabourin, son fils, également directeur photo, s’est tout de suite montré intéressé par la proposition, spécifiant toutefois que son parti pris serait d’aborder la carrière de l’acteur, improvisateur, scénariste et parolier de manière détachée. « Ce n’est pas un film sur la relation entre père et fils. Je n’avais pas besoin de montrer mon regard subjectif sur cette relation. Je voulais faire un film sur l’imaginaire de Marcel Sabourin », raconte le réalisateur en entrevue.

    18 mars 2024, 03h00

    Trois cinéastes autochtones participent à un perfectionnement en scénarisation documentaire à L’inis

    Trois cinéastes autochtones participent à un perfectionnement en scénarisation documentaire à L’inis

    Soutenu financièrement par Téléfilm Canada, L’inis annonce le lancement d’un nouveau programme de perfectionnement en scénarisation documentaire à l’intention des créateurs et créatrices autochtones francophones. Ce programme unique de 80 heures réparties sur 27 semaines, offrira à trois participantes l’opportunité de développer leur propre projet de documentaire, de la phase d’idéation à la scénarisation finale pour ensuite le présenter sous forme de pitch à des producteurs et productrices de documentaires.

    18 mars 2024, 02h00

    « French Girl » rend hommage au Québec via la comédie romantique

    « French Girl » rend hommage au Québec via la comédie romantique

    Avant même d’entamer leur entrevue téléphonique avec Qui fait Quoi, Nicolas Wright et James A. Woods se lançaient déjà quelques blagues, signe de leur évidente complicité qui a pris naissance il y a 23 ans. Ayant entamé leur carrière en tant que comédiens, les deux hommes ont rapidement noué un lien d’abord par des similarités entre leurs différents bagages familiaux : chacun était né d’un père anglophone et d’une mère québécoise qui ont fait le choix de s’établir au Québec. Ensuite, les collègues ont eu la chance de scénariser ensemble pour des productions hollywoodiennes. C’est à partir de ce moment qu’ils décident de mettre en commun leur affection pour les comédies des années 1980 et de développer un projet de long métrage, leur premier, produit par Caramel Films, intitulé « French Girl », mettant précisément en scène l’idylle interculturelle de leurs parents.

    15 mars 2024, 03h00

    Jean-Christophe Réhel fait valoir son vécu pour dépeindre au mieux la fibrose kystique à l’écran

    Jean-Christophe Réhel fait valoir son vécu pour dépeindre au mieux la fibrose kystique à l’écran

    Le scénariste Jean-Christophe Réhel a eu pour ambition de représenter autant que possible son expérience réelle en tant que personne atteinte de la fibrose kystique lorsqu’il a écrit les deux saisons de l’émission « L’air d’aller ». En plus d’être aux commandes du scénario, le romancier et poète a aussi entretenu une collaboration professionnelle étroite avec la réalisatrice Sarah Pellerin, pour que le contenu visuel de la série soit aussi fidèle que le texte. Qui Fait Quoi s’est entretenu avec les deux créateurs au premier aperçu de la seconde saison de « L’air d’aller », dans les locaux de Télé-Québec.

    14 mars 2024, 02h30

    « Tu ne sauras jamais », trouver la poésie dans le concept

    « Tu ne sauras jamais », trouver la poésie dans le concept

    Robin Aubert qualifie « Tu ne sauras jamais » de proposition drastique. Ce film, qu’il coscénarise avec Julie Roy, s’est manifesté à lui pendant la pandémie, un peu sans crier gare. Sa première image était celle du comédien Jean Lapointe dans la peau d’un vieillard, coincé dans une chambre de CHSLD. Son ambition était celle d’une oeuvre « expérimentale » où la caméra reste longuement avec le personnage, témoignant du temps qui passe. Comme les deux principaux intéressés partagent également leur vie et qu’ils commentent leur travail respectif, la scénariste et réalisatrice s’est retrouvée emportée par un sujet et un projet qui l’interpellait particulièrement.

    12 mars 2024, 05h10

    Olivier Côté prépare son premier long métrage, « Première neige »

    Olivier Côté prépare son premier long métrage, « Première neige »

    Du vidéoclip au court métrage, Olivier Côté et Xavier Bossé évoluent artistiquement main dans la main. Le réalisateur et le directeur photo ont notamment signé les courts métrages « L’abat » et « Les rois », pour lequel le cinéaste a remporté le grand prix de l’édition 2022 de Cours écrire ton court. Ensemble, ils développent « Première neige », un premier long métrage de fiction qu’ils coscénarisent, drame aux accents psychologiques inspiré de faits vécus de leur adolescence. Le duo, sélectionné parmi la 4e cohorte de la Forge Québec Cinéma, présentée par Netflix, est venu décrire le projet lors des Rendez-vous Québec Cinéma.

    8 mars 2024, 04h34

    L’AQPS propose un guide éclairant pour les artistes abordant le thème du suicide

    L’AQPS propose un guide éclairant pour les artistes abordant le thème du suicide

    L’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) a récemment dévoilé un guide visant à encadrer la représentation du suicide dans les oeuvres de fiction. Fruit d’une collaboration étroite avec différents acteurs du milieu culturel et de la santé mentale, ce guide se veut un outil précieux pour les créateurs tout en respectant les enjeux délicats liés à cette thématique.

    8 mars 2024, 02h30

    Fanny Lefort adaptera au grand écran le roman « La sueur est un désir d’évaporation » d’Anne Genest

    Fanny Lefort adaptera au grand écran le roman « La sueur est un désir d’évaporation » d’Anne Genest

    Réalisatrice et scénariste qui signe la websérie « Bête à papa » ainsi que les courts métrages « Sauce à spag », « Solstice d’un coeur brisé » et « Les homards ne crient pas », Fanny Lefort planche sur un projet de long métrage aux côtés de l’écrivaine Anne Genest (« Fécondes », le recueil de nouvelles « Les papillons boivent les larmes de la solitude »). Ensemble, elles développent l’adaptation cinématographique du roman « La sueur est un désir d’évaporation », que l’auteure a fait paraître aux éditions Libre Expression en 2022. Les deux complices ont présenté leur projet sélectionné à la 4e Forge Québec Cinéma, soutenue par Netflix dans le cadre des Rendez-vous Québec Cinéma.

    7 mars 2024, 04h30

    Alexandre Isabelle célèbre sa famille dans « À toi les oreilles »

    Alexandre Isabelle célèbre sa famille dans « À toi les oreilles »

    C’est depuis au moins 2017 qu’Alexandre Isabelle développe son projet de court métrage « À toi les oreilles ». Né d’une prémisse infiniment personnelle, le film raconte l’histoire d’Étienne, un musicien tentant de rassembler sa famille durant la parade anniversaire de son patelin. Sélectionnée à SXSW et à REGARD, l’oeuvre est tirée de l’expérience intime du scénariste et réalisateur, qui vient d’une famille affectée par des troubles de santé mentale. « Il y a un peu partout dans le scénario comme dans la forme des hommages à ma famille », confie ce dernier en entrevue.

    7 mars 2024, 04h00

    Karla Meza et Garcia JC coréaliseront le drame « M’aimeras-tu demain ? »

    Karla Meza et Garcia JC coréaliseront le drame « M’aimeras-tu demain ? »

    Journaliste, Karla Meza s’est initiée à la réalisation et à la production de films documentaires de façon autodidacte en 2019. En parallèle de sa carrière journalistique, elle a réalisé quatre courts métrages, dont deux produits dans le cadre du programme documentaire à L’inis. Originaire du Mexique, la scénariste et réalisatrice est arrivée à Montréal dans l’atmosphère euphorique approchant le référendum de 1995 pour l’indépendance du Québec. C’est dans ce contexte qu’est campé « M’aimeras-tu demain ? », son premier projet de long métrage coréalisé avec Garcia JC, lui-même en postproduction de ses deux premiers longs métrages indépendants, « 34 cm au sol » et « 1982 ». Le duo a présenté les détails du projet à venir sélectionné à la 4e édition de la Forge Québec Cinéma, organisée par Netflix parallèlement aux 42es Rendez-vous Québec Cinéma.

    6 mars 2024, 07h50

    Franie-Éléonore Bernier et Stéphanie Bélanger refont équipe pour le projet de long « Bleu marin »

    Franie-Éléonore Bernier et Stéphanie Bélanger refont équipe pour le projet de long « Bleu marin »

    Terminant actuellement la postproduction du son prochain court métrage « Dans le ventre de Ghislane » et développant le long métrage « Papa Burger », Franie-Éléonore Bernier refait équipe avec la scénariste Stéphanie Bélanger pour un nouveau projet de format long intitulé « Bleu marin ». Après le court « Mal de coeur », paru en 2019, les deux complices ont participé à la 4e édition de la Forge Québec Cinéma, présentée par Netflix en marge des Rendez-vous Québec Cinéma. Qui fait Quoi était présent lorsqu’elles ont présenté leur projet.

    5 mars 2024, 03h30