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    Réalisation




    Les candidatures pour les Prix RÉALS sont ouvertes

    Les candidatures pour les Prix RÉALS sont ouvertes

    L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) invite dès à présent les professionnels du secteur audiovisuel à soumettre la candidature d’un réalisateur ou d’une réalisatrice membre de l’ARRQ aux Prix RÉALS 2024. Les Prix RÉALS sont des prix de reconnaissance remis aux réalisateurs et réalisatrices par leurs pairs et qui visent à reconnaître des œuvres faisant preuve d’audace, qui ont pris un risque dans le processus créatif et qui contribuent à faire évoluer la profession.

    4 avril 2024, 01h05

    L’Association québécoise de prévention du suicide lance un guide pour que les œuvres de fiction soient plus authentiques

    L’Association québécoise de prévention du suicide lance un guide pour que les œuvres de fiction soient plus authentiques

    L’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) dévoile un nouvel outil : « Suicide et fiction - Guide d’accompagnement ». Le Guide propose des conseils et ressources aux créateurs, producteurs et diffuseurs de fiction pour aborder de manière responsable et authentique le suicide dans leurs œuvres et ce, autant pour la production audiovisuelle, théâtrale que littéraire.

    3 avril 2024, 00h30

    Gabrielle Gingras développe sa marque de réalisatrice

    Gabrielle Gingras développe sa marque de réalisatrice

    Originaire de Ville-Marie au Témiscamingue, Gabrielle Gingras a étudié en arts et lettres au cégep de Rouyn-Noranda. C’est à ce moment qu’elle découvre sa profonde affection pour le cinéma. Elle déménage par la suite à Montréal afin de poursuivre son parcours à l’Université Concordia. Elle obtient son diplôme en 2020, quelques mois après le début de la pandémie, ce qui rend la suite de sa trajectoire incertaine jusqu’au retour de la production audiovisuelle à l’été 2020. Elle commence alors à travailler sur les plateaux en étant l’une des premières personnes à être coordonnatrice sanitaire, alias « la police COVID ». Puis, vient l’invitation de la Guilde canadienne des réalisateurs à participer à un programme d’apprentis. Elle est acceptée et au terme de cette formation, elle devient assistante à la réalisation, tout en développant sa propre pratique de cinéaste.

    2 avril 2024, 06h30

    « In Memoriam », une « très grosse bête à dompter » pour les réalisateurs

    « In Memoriam », une « très grosse bête à dompter » pour les réalisateurs

    Lorsqu’ils ont présenté les premiers épisodes de la série « In Memoriam » à la presse et à leur équipe, Marie-Claude Blouin et Félix Tétreault ont parlé d’une « très grosse bête à dompter ». Plus gros projet des Productions Passez Go jusqu’à ce jour, la série de 8 épisodes de 60 minutes a représenté une multitude de défis techniques à réaliser dans un cadre de production télévisuelle au Québec. En entrevue, le duo fait référence à des mises en scène très précises qui ont nécessité une préparation accrue, des cascades, de nombreuses scènes avec plusieurs personnages et quelques scènes avec des armes et du sang.

    28 mars 2024, 07h30

    « Hôtel Silence », la fable humaniste de Léa Pool

    « Hôtel Silence », la fable humaniste de Léa Pool

    Si son instinct l’a menée vers le roman « Ör » de l’Islandaise Audur Ava Ólafsdóttir, paru en 2017, Léa Pool croit que c’est, en partie, en raison de ses propres racines européennes. Les conflits qui sévissent sur le continent outre-Atlantique créent une angoisse plus profonde chez les citoyens, ne serait-ce que la guerre en Ukraine, qui n’avait pas éclaté au moment de l’écriture du scénario, bouleversant davantage l’Europe que l’Amérique. Outre cette dimension, la cinéaste admet se reconnaître beaucoup dans l’oeuvre de l’auteure : des personnages en transition, des lieux de passage et une démarche féministe. Voilà ce qui l’a menée à traduire au grand écran ce manuscrit, devenu « Hotel Silence » et racontant le parcours de Jean, un homme endeuillé qui part dans un pays détruit par la guerre.

    27 mars 2024, 07h30

    L’ARRQ dévoile 6 récipiendaires de la bourse de démarrage Jean-Marc-Vallée

    L’ARRQ dévoile 6 récipiendaires de la bourse de démarrage Jean-Marc-Vallée

    L’ARRQ annonce les récipiendaires des bourses de démarrage Jean-Marc-Vallée 2024. Cette année n’est pas coutume, ce sont six projets au lieu de cinq qui recevront chacun une aide de 1250$. En effet, face à l’augmentation des candidatures reçues et à la qualité des propositions, le jury n’a pu se résoudre à trancher entre deux très bons candidats.

    26 mars 2024, 01h30

    Le long métrage « Charlie Tango » dévoile sa bande-annonce

    Le long métrage « Charlie Tango » dévoile sa bande-annonce

    Les Productions 1984 dévoilent la bande-annonce et l’affiche du film « Charlie Tango ». Ce thriller tourné à Montréal à l’été 2023 sera présenté en grande première mondiale au Myrtle Beach International Film Festival le 27 avril prochain.

    25 mars 2024, 00h33

    Avec « La fonte des glaces », François Péloquin offre un film généreux

    Avec « La fonte des glaces », François Péloquin offre un film généreux

    Réalisant également du documentaire, François Péloquin opte pour le parti pris de faire le cinéma autrement lorsqu’il se retrouve dans un contexte de fiction. Son cinéma, réaliste, vise à offrir une certaine transparence dans l’approche visuelle afin que le public ne sente pas le travail de réalisation derrière sa démarche. Et c’est précisément ce qu’il poursuit sur « La fonte des glaces », son deuxième long métrage qu’il coscénarise avec Sarah Lévesque et qui est produit par Couzin Films. Après « Le bruit des arbres », il propose le récit de Louise Denoncourt, une agente de libération conditionnelle opérant une aile de réhabilitation pour les criminels ayant commis des homicides qui se retrouve devant Marc, un détenu qui la bouleverse.

    20 mars 2024, 02h30

    Sophie Deraspe dirigera Caroline Dhavernas dans « Ravages »

    Sophie Deraspe dirigera Caroline Dhavernas dans « Ravages »

    Club illico dévoile la distribution de la nouvelle série dramatique « Ravages », produite par Pixcom, en collaboration avec Québecor Contenu. Idée originale de Marie-Dominique Michaud, scénarisée par Frédéric Ouellet et Sophie Deraspe, qui en signe également la réalisation, la série compte six épisodes de 60 minutes. Caroline Dhavernas, qui y incarne le personnage principal, jouera aux côtés de Robin Aubert, Benoît Brière, Sophie Prégent, Mark Krupa, Catherine Brunet, Alexandre Nachi, Samian, Pierre Verville, Julie Vincent et Adrien Bletton. Le tournage, qui se déploiera du Québec jusqu’en Amérique latine, s’amorcera le 26 mars.

    20 mars 2024, 01h00

    Thibaut Sève met en scène des artistes émergents « pionniers » de l’intelligence artificielle

    Thibaut Sève met en scène des artistes émergents « pionniers » de l’intelligence artificielle

    Le réalisateur français Thibaut Sève a donné le coup d’envoi de la 42e édition du Festival International du Film sur l’Art (FIFA) avec la première projection hors France de son dernier documentaire, « Obvious : hackers de l’art ». Le long métrage retrace le parcours du trio parisien éponyme, qui s’est fait connaître en 2018 lorsque la société de vente aux enchères Christie’s a vendu à 432 500 $ une de ses oeuvres réalisée grâce à l’intelligence artificielle. Qui fait Quoi est allé à la rencontre du documentariste pour discuter avec lui de la genèse de son projet, de sa production et de sa réception.

    19 mars 2024, 03h30

    « Au boute du rien pantoute », une porte sur l’imaginaire de Marcel Sabourin

    « Au boute du rien pantoute », une porte sur l’imaginaire de Marcel Sabourin

    Idée originale d’Angélique Richer, qui coscénarise et coproduit le long métrage documentaire, « Au boute du rien pantoute » est né d’un désir de réaliser un film sur Marcel Sabourin. Jérôme Sabourin, son fils, également directeur photo, s’est tout de suite montré intéressé par la proposition, spécifiant toutefois que son parti pris serait d’aborder la carrière de l’acteur, improvisateur, scénariste et parolier de manière détachée. « Ce n’est pas un film sur la relation entre père et fils. Je n’avais pas besoin de montrer mon regard subjectif sur cette relation. Je voulais faire un film sur l’imaginaire de Marcel Sabourin », raconte le réalisateur en entrevue.

    18 mars 2024, 03h00

    L’ONF sera présent au Festival international du film d’animation d’Annecy

    L’ONF sera présent au Festival international du film d’animation d’Annecy

    L’Office national du film du Canada prendra part au Festival international du film d’animation d’Annecy 2024 avec une forte sélection de quatre courts métrages, dont trois dans la compétition L’officielle : les très attendus « Peut-être des éléphants » (« Maybe Elephants » ; Mikrofilm/ONF), de Torill Kove, et « Le tableau », de Michèle Lemieux, réalisé avec l’écran d’épingles Alexeïeff-Parker, ainsi que l’éblouissant « Misérable miracle » (Miyu Productions/ONF/New Deer) de Ryo Orikasa.

    18 mars 2024, 01h30

    « French Girl » rend hommage au Québec via la comédie romantique

    « French Girl » rend hommage au Québec via la comédie romantique

    Avant même d’entamer leur entrevue téléphonique avec Qui fait Quoi, Nicolas Wright et James A. Woods se lançaient déjà quelques blagues, signe de leur évidente complicité qui a pris naissance il y a 23 ans. Ayant entamé leur carrière en tant que comédiens, les deux hommes ont rapidement noué un lien d’abord par des similarités entre leurs différents bagages familiaux : chacun était né d’un père anglophone et d’une mère québécoise qui ont fait le choix de s’établir au Québec. Ensuite, les collègues ont eu la chance de scénariser ensemble pour des productions hollywoodiennes. C’est à partir de ce moment qu’ils décident de mettre en commun leur affection pour les comédies des années 1980 et de développer un projet de long métrage, leur premier, produit par Caramel Films, intitulé « French Girl », mettant précisément en scène l’idylle interculturelle de leurs parents.

    15 mars 2024, 03h00

    Jean-Christophe Réhel fait valoir son vécu pour dépeindre au mieux la fibrose kystique à l’écran

    Jean-Christophe Réhel fait valoir son vécu pour dépeindre au mieux la fibrose kystique à l’écran

    Le scénariste Jean-Christophe Réhel a eu pour ambition de représenter autant que possible son expérience réelle en tant que personne atteinte de la fibrose kystique lorsqu’il a écrit les deux saisons de l’émission « L’air d’aller ». En plus d’être aux commandes du scénario, le romancier et poète a aussi entretenu une collaboration professionnelle étroite avec la réalisatrice Sarah Pellerin, pour que le contenu visuel de la série soit aussi fidèle que le texte. Qui Fait Quoi s’est entretenu avec les deux créateurs au premier aperçu de la seconde saison de « L’air d’aller », dans les locaux de Télé-Québec.

    14 mars 2024, 02h30